page1image32597760 Au moment de l’accession aux indépendances des États subsahariens, la contribution africaine à la production des savoirs mondiaux était d’environ 1 %. Malgré la création de nombreuses universités, centres et instituts de recherche, elle a régressé de 0,5 % dans les années 1980, et à 0,3 % au début des années 2000 (B. Mvé-Ondo, 2005 : p. 11). Entre 2002 et 2008, elle oscillera en 2002 entre 0,5% et 0,6% (Unesco, 2010 : p. 14). Dans une mondialisation aux multiples facettes où « la production du savoir, son contrôle et sa gestion sont devenus le moteur premier des sociétés qui souhaitent participer à la compétition » (B. Mvé-Ondo, op. cit. p. 17), le déficit de l’Afrique en termes de production des savoirs compétitifs pose problème et mérite d’être interrogé. S’il affecte les sciences dites dures en premier lieu, [+]

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